Les objectifs
que s'assigne l'Association des Thésards en Anthropologie de
Nice sont triples:
1. Le partage des connaissances en anthropologie.
L'organisation de tables rondes, de journées d'étude, de séminaires et de conférences visent à un partage accru des connaissances en sociologie, ethnologie, et anthropologie; tant d'un point de vue théorique et méthodologique, que pratique et professionnel.
Dans le creuset du Laboratoire d'Anthropologie de la Mémoire, de l'Identité et de la Cognition sociale, de Université de Nice, et notamment des " ateliers du LAMIC " , les échanges et les rencontres se donneront pour objectif de réunir les doctorants autour du processus de "fabrication de la thèse".
Cet "volet poïétique" s'adresse aussi bien aux étudiants de 3ème cycle inscrits en DEA, qu'aux doctorants et post-doctorants.
2. Une perspective pluridisciplinaire.
Les champs investis par les sciences humaines et sociales sont aujourd'hui très divers et mobilisent différentes disciplines qu'il convient de prendre en considération. Le "volet thématique" de l'association s'efforcera alors d'ouvrir des perspectives interdisciplinaires.
S'informer des contributions respectives de chaque discipline dans le domaine du savoir, tout en permettant de mieux faire connaître les concepts, les méthodes et les visées de l'anthropologie aujourd'hui, telles pourraient être les exigences qui s'imposent à tout chercheur.
3. Une valorisation de la discipline anthropologique et ... des travaux des doctorants.
Favoriser la publication des travaux des étudiants de 3ème cycle et la valorisation de la discipline auprès du public. Face à la demande exprimée par les collectivités territoriales, les éco-musées, les musées de société, ...l'anthropologie possède des acquis, des méthodes et des savoir-faire à la mesure de cette attente.
Il reste qu'en reprenant la distinction établie par C. Lévi-Strauss entre la recherche, "l'anthropologie à l'état pur", et ses applications, "l'anthropologie diluée", il conviendra de prendre la mesure de ce qu'il désigne par les "implications sociales de la recherche".(C. Lévi-Strauss. anthrop. struct. I et II).
1. Le partage des connaissances en anthropologie.
L'organisation de tables rondes, de journées d'étude, de séminaires et de conférences visent à un partage accru des connaissances en sociologie, ethnologie, et anthropologie; tant d'un point de vue théorique et méthodologique, que pratique et professionnel.
Dans le creuset du Laboratoire d'Anthropologie de la Mémoire, de l'Identité et de la Cognition sociale, de Université de Nice, et notamment des " ateliers du LAMIC " , les échanges et les rencontres se donneront pour objectif de réunir les doctorants autour du processus de "fabrication de la thèse".
Cet "volet poïétique" s'adresse aussi bien aux étudiants de 3ème cycle inscrits en DEA, qu'aux doctorants et post-doctorants.
2. Une perspective pluridisciplinaire.
Les champs investis par les sciences humaines et sociales sont aujourd'hui très divers et mobilisent différentes disciplines qu'il convient de prendre en considération. Le "volet thématique" de l'association s'efforcera alors d'ouvrir des perspectives interdisciplinaires.
S'informer des contributions respectives de chaque discipline dans le domaine du savoir, tout en permettant de mieux faire connaître les concepts, les méthodes et les visées de l'anthropologie aujourd'hui, telles pourraient être les exigences qui s'imposent à tout chercheur.
3. Une valorisation de la discipline anthropologique et ... des travaux des doctorants.
Favoriser la publication des travaux des étudiants de 3ème cycle et la valorisation de la discipline auprès du public. Face à la demande exprimée par les collectivités territoriales, les éco-musées, les musées de société, ...l'anthropologie possède des acquis, des méthodes et des savoir-faire à la mesure de cette attente.
Il reste qu'en reprenant la distinction établie par C. Lévi-Strauss entre la recherche, "l'anthropologie à l'état pur", et ses applications, "l'anthropologie diluée", il conviendra de prendre la mesure de ce qu'il désigne par les "implications sociales de la recherche".(C. Lévi-Strauss. anthrop. struct. I et II).